Pas de bus à 7h30...

Vous trouverez ci-dessous le communique de presse en date du 24 février 2018 concernant la desserte de TREMELOIR en transports collectifs et les dernières décisions de Baie d'armor.

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"Si depuis la rentrée 2017-2018, les travaux réalisés avec M. Kerdraon, 1er vice-président de St-Brieuc Armor agglomération chargé des transports, président de Baie d'Armor transports, ont permis de compléter l'offre de transports Pordic-Tréméloir le soir, en revanche, un arrêt plus tardif le matin, calé sur 07h30, vient d'être refusé.

- La ligne 4 Tibus du Conseil Régional passe -sans s'arrêter- devant l'arrêt Tréméloir à 7h30 en direction de St-Brieuc. La demande du Collectif était, sans frais supplémentaires pour les collectivités, la décision de marquer l'arrêt à Tréméloir.
Les différents comptages réalisés par les membres du Collectif à divers moments montraient une capacité suffisante pour laisser monter la vingtaine d'élèves trémélois. Des comptages réalisés par les services du Conseil Régional ont démontré l'inverse.
- Pour ce qui concerne les offres TUB de l'agglomération, à moyens constants, aucune solution n'est envisageable.

"M. Kerdraon, tenant son engagement d'étude d'une solution lors des précédentes rencontres de travail, n'a finalement pas pu proposer de solution pour cette question.
"Aucune solution ne sera donc proposée pour la rentrée 2018-2019.

"Les membres du Collectif déplorent cette situation et remettent pour l'avenir ce dossier des transports en commun et scolaires entre les mains de leur Maire et de son équipe municipale afin qu'ils fassent valoir et défendent le sort des citoyens trémélois."

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Rappel des faits :
– Tréméloir : commune déléguée de la commune nouvelle de Pordic depuis le 1er janvier 2016.
– Des parents d'élèves de Tréméloir, inquiets des informations concernant la nouvelle
organisation des transports collectifs 2017-2018, se mobilisent et se réunissent en Collectif.
– Il s'agit d'une démarche collective pour la qualité de vie quotidienne des habitants et
notamment des scolaires.
– Depuis fin juin 2017, des contacts sont pris avec les élus locaux et régionaux, et les services de
transports pour compléter l'offre de transports jugée insuffisante et incomplète.

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